Considéré comme un eldorado, Dubaï cristallise l’attention du monde, en tant que ville paradisiaque réputée pour ses mille et une folies. Carrefour entre l’Orient et l’Occident, hub de la compagnie Emirates, le deuxième plus grand au sein des Émirats arabes unis joue la carte de la démesure sur la scène touristique mondiale. Mieux cette ville brille de mille feux et attire les touristes du monde entier, lesquels le trouvent irrésistible. Avec ses buildings futuristes surgis du désert, ses îles artificielles, ses hôtels de luxe, Dubaï s’impose de plus en plus comme l’une des destinations mondiales les plus courues après. L’argent du pétrole coule ici à flots, à l’origine d’un développement spectaculaire. Mais au-delà de l’attraction touristique, la ville est secouée par un vaste scandale retentissant qui a fini de faire écho dans les quatre coins du monde. La recherche de l’argent facile a conduit plusieurs filles africaines à s’adonner à des pratiques abjectes loin de leurs pays respectifs.
En quittant leurs pays, la plupart de ces influenceuses arrivent à Dubaï sans connaître le motif de leur voyage. Promises à du boulot dont elles ignorent souvent la nature, ces filles se satisfont de quitter l’Afrique avec le seul motif clair dans leur mémoire, la recherche du travail pour un meilleur devenir. Appelées influenceurs pour la plupart, elles ont fini par ériger un sanctuaire à Dubaï. On peut les voir sillonner les quartiers chics, rouler à bord des voitures hors normes, et croquer à pleines dents la vie qu’elles y mènent. Selon des informations glanées par SeneNews , plusieurs filles parties dans ce pays pour se faire de l’argent n’ont pas de toit où dormir. Elles partagent la même chambre avec des garçons d’origine africaine. Les plus nantis , selon notre source, se reconvertissent en courtiers pour louer des chambres aux jeunes africaines venues à Dubaï à la quête d’une meilleure vie .
« Avant de quitter leurs pays d’origine, les ravisseurs promettent aux filles de leur trouver du travail une fois arrivées à Dubai. Ils leur font croire qu’elles seront rémunérées à hauteur de 5000 dirahms qui équivaut à 847782,89 f cfa . Mais cela dépendra des postes de travail ». Très au fait des pratiques et des secrets des voyages à Dubaï, notre source révèle que les candidates paient une commission de 2500 dirhams à la participation du recrutement et explique comment nombre de filles finissent par vendre leur âme. « Une fois , le contrat signé avec l’employeur après des mois de travail, tu peux te retrouver sans salaire, ce qui pousse beaucoup de filles à faire de la prostitution » a confié notre source qui souligne qu’à la longue, «certaines ne pourront même pas payer leur loyer et se trouvent sans-abris » . Qui pis est, à l’expiration de leur visa, les candidates se retrouvent confrontées à la dure réalité de leur rêve devenu cauchemar et n’arrivent plus trouver du travail, à en croire notre interlocuteur, jeune immigré à Dubaï de retour en Afrique.
Poursuivant, il renseigne que des conditions de travail sont déplorables pour certains ouvriers immigrés. « Nous sommes plus de 15 personnes dans une même chambre que nous partageons avec les filles. Dans la chambre où j’étais herbé , nous étions avec 8 filles qui se prostituent » a confié notre source sous le couvert de l’anonymat, lequel ajoute que si dans le compartiment de l’immeuble qu’ils ont occupé, les filles et les garçons vivent ensemble. « Pour manger, on se cotisait ensemble, chacun donne le peu qu’ils possède » a-t-il ajouté.
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Le scandale de « Dubaï Porta Potty »
Dégueulasses, inhumains, les qualificatifs n’ont pas manqué. Dans une vidéo fuitée devenue virale sur la toile, on peut voir des filles avaler des excréments d’hommes riches. Elles se font appeler influenceuses, et la plupart d’entre elles viennent d’Afrique. Leur obsession pour l’argent facile aidant, elles se laissent entrainer dans des pratiques sexuelles inimaginables pour satisfaire leur soif inextinguible de sous. Aussi surréalistes que cela puisse sembler, elles se muent en pantins de ces richissimes hommes et acceptent littéralement de se faire chier dessus. Sur les clichés qui nt fuité, la réalité de l’horreur dépasse la fiction puisque ces jeunes dames acceptent volontiers de se faire défèque dans leurs bouches en échange de sacs, chaussures et autres objets de valeur.
Cette affaire qui défraie la chronique depuis quelques jours met à nu un vaste réseau de prostitution qui a pour capitale Dubaï, mais dont le modus operandi dépasse l’entendement. « Dubaï Porta Potty » (un terme qui désigne des toilettes portables) désigne un ensemble de pratiques que les influenceuses et d’autres jeunes femmes font en échange d’argent ou de cadeaux de luxes. Qui pis est, certaines parmi elles s’adonnent même à la zoophilie, si elles ne font pas tout simplement des rapports sexuels avec les enfants des hommes d’affaires. Abracadabrant!
Nonobstant leur caractère malsain et dégueulasse, ces pratiques qui soulèvent un haut-le-cœur, sont pourtant décrites comme de la mode dans cette ville censée avoir des règles religieuses strictes. La publication par l’influenceur camerounais Camlille Makosso, qui a levé le lièvre sur cette vie cachée des starlettes à Dubaï, a pu donner une idée sur les motifs réels de leurs déplacements dans cette partie du monde.
Des influenceuses sénégalaises dans le lot des perverses
Le Sénégal est cité dans le scandale de « Porta Potty » avec une prestigieuse 4e position. « Représentée » par pas moins de 43 filles, dans ce lot de filles prêtes à vendre leur âme au plus offrant, nous trouvons 14 tik-tokeuses, 11 miss, 13 mannequins, 2 animatrices télé et radio .
Par ailleurs , la liste est loin d’être exhaustive puisque d’autres influenceuses issues de pays africains sont citées dans ce rendez-vous inédit du donner et du recevoir. Les pays le plus représentés dans ce scandale sont les deux Congo avec 78 filles, suivis de la Côte d’Ivoire (57 filles), du Cameroun (49 filles) et du Sénégal.
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Ce gros scandale sexuel « Dubaï Porta Potty » n’est en réalité que de la prostitution de luxe. Selon des témoignages recueillis, à la fin de leur mission ignoble, ces femmes sont récompensées à hauteur de 15.0000 voire 20.000 dollars. À signaler que l’influenceuse ougandaise Karungi Monic âgée de 23 ans plus connue sous le nom de Mona Kizz se serait suicidée en se jetant du haut d’un immeuble. Pour l’heure, les circonstances de sa mort restent inconnues. Cependant, pour certains internautes, elle serait partie prenante du scandale Dubaï Porta Potty au moment où d’autres mettent ce décès sous le sceau des rumeurs.