L’affaire défraie les chroniques et délient les langues depuis la semaine dernière. A Dubaï, il existerait un réseau de prostitution qui utilisent des jeunes femmes, souvent africaines, à des pratiques scatologiques ou zoophiles.
Un témoignage d’une jeune fille qui fait partie du réseau, repris par l’Observateur explique le concept des « toilettes portables dubaïotes« .
Tapis sous l’anonymat, la jeune fille révèle : « ces dernières années, je me suis avilie comme personne, oui j’ai voyagé partout dans le monde mais le prix que j’ai payé commence seulement à affecter ma vie et ma santé mentale. Ces mecs-là sont tellement blindés, ils détestent leurs femmes et s’ennuient de la vie à tel point qu’ils sont prêts à payer n’importe quel prix pour réaliser leurs fétiches sexuels délirants, et j’ai été assez folle pour accepter cet argent« .
Mieux, elle détaille le menu les actes sexuels ainsi que leurs tarifs. « Ils peuvent te payer jusqu’à 40 000 dollars (plus de 24 millions FCFA) pour une session spéciale« .
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Ces modèles, continue-t-elle, « reçoivent aussi en guise de cadeau, des habits de marques, des et sacs, des voitures…«